Occupations : lieutenant de police, binôme d'Henry Mitchell Jr (le pauvre!)
Parents : L'effroyable juge des procès de Salem Jonathan Corwin (un incube) & la naïve Abigail Pratt (une sorcière bénéfique)
Nom mystique : prêtresse de Salem
Camp : mal
Espèce : hybride Succube & Sorcière
Pouvoirs raciaux : Sorcière ● création de potions, médiumnité (voir les esprits et communiquer avec), la localisation (à l'aide d'un pendule et d'une carte) & Succube ● projection de phéromones, absorption d'énergie, immortalité.
Pouvoirs personnels : Voyance (Niv2) ● prémonitions (par le toucher) & prescience (elle peut sentir un danger imminent quelques secondes avant qu'il se produise) Empathie (Niv1) ● cadeau empoisonné de sa chère maman, un pouvoir purement bénéfique qui lui permet de ressentir les émotions d'autrui. Elle ne le contrôle absolument pas. Contrôle moléculaire (Niv1) ● Ralentissement moléculaire (d'un geste du poignet, Aly est capable de figer une personne/objet/attaque pendant un laps de temps assez court)
A venir:
● Accélération moléculaire (d’un geste du poignet, Aly peut accélérer le mouvement des molécules des objets où êtres visés afin de les enflammer, s'ils peuvent brûler, ou provoquer leur fonte s'ils ne peuvent s'enflammer)
● Combustion moléculaire (Aly peut faire exploser à la fois les êtres vivants, les êtres artificiels, les objets ainsi que des attaques ennemies)
● inhibition moléculaire (Aly peut cristalliser un objet ou un être, en les enfermant dans un bloc de glace. Ce pouvoir arrête le mouvement des molécules avec de la glace)
Dans un long soupir, je balaye la pièce du regard. Il est tard et il ne reste que peu de monde au poste. J’avais un compte rendu à finir que je faisais traîner depuis trop longtemps et ça y est, j’en étais venue à bout. Pour me récompenser, j’étais allée voler un paquet de bonbon dans le tiroir du bureau de mon coéquipier. Coéquipier qui voulait m’étriper à n’en pas douter, mais il allait encore devoir faire avec moi. Ma mission terminée, j’aurais pu disparaître et laisser tomber ce boulot trop humain mais je n’avais pas pu m’empêcher de rester quand bien même Henry Mitchell Jr me détestait. Il avait fait partie intégrante de ma vie pendant des mois, aussi, il me semblait difficile de me détacher de lui si facilement. Logique non ? C’était, en tout cas, ma logique.
J’ouvre le paquet et gobe deux bonbons puis je fronce les sourcils. Au lieu de me gaver de sucre, je devrais peut-être me défouler autrement. Dans la salle de sport du commissariat par exemple ? Oui c’est une excellente idée d’aller taper dans le sac de frappe. Le paquet de bonbon toujours dans la main – c’est pas bien de gâcher, je vais le finir ! - je me rends au vestiaire et enfile une tenue plus adéquate que ce jean et ce chemisier que je portais jusqu’à présent. J’enfile un legging de sport et une brassière de la même couleur, puis j’attache mes cheveux en un chignon indiscipliné.
Quand je pénètre dans la salle, j’ai la désagréable surprise de constater qu’il y a quelqu’un. Rectification, ce n’est pas du tout désagréable ce qui se passe sous mes yeux. Henry est là. Et il frappe de toutes ses forces dans le sac de frappe que je voulais, justement, utiliser. L’atmosphère est lourde, et je n’ai pas besoin de m’approcher davantage pour sentir qu’il fait une chaleur étouffante ici et que le brun est dans une colère noire. Oh, je le ressens très bien et bien malgré moi, je me sens déjà très irritée. Et ça contraste totalement avec mon état d’esprit ! Mon regard bleu glacé ne lâche pas la silhouette du fils de Paige, ni le spectacle qu’il m’offre. Je me mordille la lèvre inférieure et finis par faire du bruit avec le sachet que je tiens entre les mains. Il faut bien que je me manifeste d’une manière ou d’une autre. « Je pensais pas que tu serais encore là. » Je fais un pas vers lui et tends le paquet de bonbon en signe de paix. « T’en veux ? » je demande, « C’est pas empoisonné, ça vient du tiroir de ton bureau. » je précise avant de froncer les sourcils, « … à moins que tu aies fait exprès de les laisser-là pour te débarrasser de moi. T’as pas fait ça, hm ? » Il oserait pas !
_________________
Alyson Pratt
Le seul moyen de se délivrer d'une tentation, c'est d'y céder. Résistez et votre âme se rend malade à force de languir ce qu'elle s'interdit. Oscar Wilde ( ☽☽ )
Parents : Fils adoptif de Paige Matthews et Henry Mitchell, il est l'enfant biologique de la muse Melody.
Camp : Bénéfique
Espèce : Sang Mêlé d'une Muse et d'un Sorcier Maléfique
Pouvoirs raciaux : MUSE • Inspirer la créativité, invisibilité
WARLOCK • Jeter des sorts, concocter des potions, localiser des individus avec un pendule, percevoir le monde des esprits
Pouvoirs personnels : CRYOKINÉSIE (niv. 2):
- Projection de glace pouvant envelopper les surfaces ou les personnes qu'il cible.
- Manipulation de la glace qui peut prendre la forme qu'il désire entre ses doigts
MANIPULATION DE POUVOIRS (niv.2):
-amplification
-annulation
Sujet: Re: Tu boudes encore ? ✧ Henry Mar 27 Aoû 2024 - 17:19
Il semblait avoir perdu toute notion du temps, ignorant que l’obscurité trônait à présent dans les rues de San Francisco. Il n’y avait que l’écho de sa respiration maitrisée et de ses poings s’écrasant contre le sac de frappe. et il cognait. encore et encore sans relâche. Qu’importe ses muscles endoloris, c’était un moyen comme un autre d’apaiser le tumulte de ses songes. La frustration, la colère, cette pression constante logée au creux de son poitrail… Il fallait une soupape de sécurité, un exécutoire plutôt sain pour exprimer ce trop plein. C’était un besoin - non même plus que ça - c’était une nécessité. Il ne pouvait pas se permettre de laisser ses émotions exploser, encore moins maintenant. Il n’avait plus donné signe de vie pendant des semaines et à présent, il se savait surveiller de près. Le chef gardait un œil sur lui guettant le moindre faux pas pour le rétrograder ou le virer. Et pour couronner le tout –comme si sa vie n’était pas assez le bordel- ELLE était toujours là. Bordel mais pourquoi diable fallait-il qu’elle soit encore là ? Sa présence près de lui n’arrangeait rien à la situation. Pire même. Il l’évitait dès qu’il le pouvait mais il ne pouvait pas éternellement se soustraire à sa présence. Alors il subissait, prenait sur lui pour conserver des rapports purement cordiaux et professionnels devant les autres membres de l’équipe. Après tout, elle était sa co-équipière et il ne pouvait pas demander à en changer – pas pour l’instant, pas après son absence aux justifications douteuses…
L’attention captivée, la vigilance s’était abaissée un instant, suffisamment longtemps pour ne pas se rendre compte que quelqu’un l’observait. Le froissement du papier l’interpella, tout comme le timbre de sa voix, souffle d’air crispant davantage encore ses poings qu’il posa sur le sac, ralentissant ainsi ses oscillations jusqu’à l’arrêter. Le myocarde tambourinant violemment contre sa cage thoracique, la rancœur accumulée lui brûlait les tripes mais pourtant le visage resta stoïque, maitrise parfaite de la tempête qui pourtant faisait rage à l’intérieur.
Evitant soigneusement son regard, il regarda en direction de ce qu’elle lui tendait, y découvrant un paquet de bonbons. SES propres bonbons d’ailleurs. Elle avait donc fouillé dans ses affaires, pris des friandises qui ne lui appartenaient pas et maintenant elle était là, à lui agiter le paquet sous le nez tout en s’enquérant du fait qu’ils soient oui ou non empoisonnés… « tu aurais peut-être dû y songer avant d'en manger… » Il se détourna, s’éloignant d’elle pour se diriger vers ses affaires plus loin. Tout en marchant, il porta ses lèvres à son gant droit, ses dents s’accrochant au scratch sur son poignet pour en défaire l’attache. L’entrainement était fini, il n’allait certainement pas trainer ici avec elle pour seule compagnie…
Désormais débarrassé de ses gants, il saisit sa serviette d’une main, jetant son sac sur son épaule de l’autre. Il aurait dû se taire, il aurait dû se contenter de prendre ses affaires et partir mais pourtant, dans un élan d’impulsivité, il se retourna dans sa direction. « Pourquoi es-tu encore ici?... » Ses yeux rivés aux siens, il secoua quasi aussitôt la tête, rappel cuisant des mensonges qu’elle avait pu dire jusqu’à présent. « Non en fait tu sais quoi je m’en fous, je veux juste que tu partes. »
Occupations : lieutenant de police, binôme d'Henry Mitchell Jr (le pauvre!)
Parents : L'effroyable juge des procès de Salem Jonathan Corwin (un incube) & la naïve Abigail Pratt (une sorcière bénéfique)
Nom mystique : prêtresse de Salem
Camp : mal
Espèce : hybride Succube & Sorcière
Pouvoirs raciaux : Sorcière ● création de potions, médiumnité (voir les esprits et communiquer avec), la localisation (à l'aide d'un pendule et d'une carte) & Succube ● projection de phéromones, absorption d'énergie, immortalité.
Pouvoirs personnels : Voyance (Niv2) ● prémonitions (par le toucher) & prescience (elle peut sentir un danger imminent quelques secondes avant qu'il se produise) Empathie (Niv1) ● cadeau empoisonné de sa chère maman, un pouvoir purement bénéfique qui lui permet de ressentir les émotions d'autrui. Elle ne le contrôle absolument pas. Contrôle moléculaire (Niv1) ● Ralentissement moléculaire (d'un geste du poignet, Aly est capable de figer une personne/objet/attaque pendant un laps de temps assez court)
A venir:
● Accélération moléculaire (d’un geste du poignet, Aly peut accélérer le mouvement des molécules des objets où êtres visés afin de les enflammer, s'ils peuvent brûler, ou provoquer leur fonte s'ils ne peuvent s'enflammer)
● Combustion moléculaire (Aly peut faire exploser à la fois les êtres vivants, les êtres artificiels, les objets ainsi que des attaques ennemies)
● inhibition moléculaire (Aly peut cristalliser un objet ou un être, en les enfermant dans un bloc de glace. Ce pouvoir arrête le mouvement des molécules avec de la glace)
Sujet: Re: Tu boudes encore ? ✧ Henry Mer 28 Aoû 2024 - 18:52
Il se contenait, je le sentais clairement, tout comme je sentais mon cœur battre à tout rompre. Il battait tellement fort que j’avais l’impression que mon cœur pouvait sortir de ma poitrine à tout moment et exploser. Ce n’était pas moi ça, je n’étais pas si nerveuse en sa présence … C’était lui qui ressentait ça et je ne savais pas comment j’allais gérer de ressentir ses émotions à lui. Ce don d’empathie s’était déclenché quand Henry avait « mis fin à notre relation ». Et c’était un problème parce que c’était surtout en sa présence que j’avais le plus de mal à reprendre le dessus. L’empathie était le fléau de mon existence. Je détestais ce pouvoir ! J’ignorais comment le contrôler et ne pas me laisser envahir par les émotions des autres.
Le brun évitait mon regard et ne prit même pas un bonbon. C’était de la mauvaise foi pure et dure parce qu’il ne disait jamais non à des dragibus. Mais tant pis pour lui, il savait ce qu’il ratait. « tu aurais peut-être dû y songer avant d'en manger… » - « Quelque chose me dit que tu aurais préféré y penser avant moi. » lui répondis-je tout en le regardant s’éloigner de moi. Il tira rageusement sur le scratch de son gant pour libérer sa main et fit de même avec l’autre.
Croisant mes bras sous ma poitrine, mon regard bleu glacé ne le quittait pas quand il prit sa serviette et son sac… Et peut-être aussi que j’en profitais pour mater outrageusement son postérieur musclé. C’est faible une succube … « Pourquoi es-tu encore ici?... » Sa question me sortit de ma contemplation surtout qu’il s’était retourné très rapidement. « Parce que j’avais un rapport que je faisais traîner depuis trop longtemps et j’ai voulu le terminer ce soir » lui dis-je tout en levant un sourcil. Il ne parlait pas de maintenant, je n’étais pas dupe. Il me demandait pourquoi j’étais encore là, dans sa vie, dans son univers. Je plantais mes yeux dans les siens, soutenant son regard sans ciller. La vérité, c’est que j’aurais dû sortir sortir de sa vie, j’aurais pu parce que techniquement ma mission ici, était terminée, mais j’avais décidé que ce job était une très bonne couverture humaine. C’était une excellente excuse ça. « Non en fait tu sais quoi je m’en fous, je veux juste que tu partes. » Je ricanais et m’avançais pour bien lui faire face. La provocation. Toujours la provocation. « Sauf que t’as pas le pouvoir de faire ça chéri. » répliquais-je, et que je reprenais avec une certaine satisfaction dans la voix, sans lui laisser le temps de répondre : « Et que je te manquerais trop si je partais. » Je cherchais son regard des yeux et m’approchais encore un peu plus. Je prenais le risque d’envahir son espace vital mais il avait l’habitude, je faisais toujours ça avant. « Oh fais pas ton rabats joie, on s’est bien amusé … tous les deux ! »
Le seul moyen de se délivrer d'une tentation, c'est d'y céder. Résistez et votre âme se rend malade à force de languir ce qu'elle s'interdit. Oscar Wilde ( ☽☽ )
Dernière édition par Alyson Pratt le Sam 14 Sep 2024 - 18:12, édité 1 fois
Parents : Fils adoptif de Paige Matthews et Henry Mitchell, il est l'enfant biologique de la muse Melody.
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Espèce : Sang Mêlé d'une Muse et d'un Sorcier Maléfique
Pouvoirs raciaux : MUSE • Inspirer la créativité, invisibilité
WARLOCK • Jeter des sorts, concocter des potions, localiser des individus avec un pendule, percevoir le monde des esprits
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Sujet: Re: Tu boudes encore ? ✧ Henry Mar 10 Sep 2024 - 23:01
Se taire. C’était tout ce qu’il avait à faire. Il devait juste fermer sa gueule, prendre ses affaires et quitter les lieux. Oui c’était de l’évitement pur et dur et oui ça ne marchait pas si mal que ça jusqu’à maintenant. Il s’était même parfaitement bien débrouillé pour ne jamais vraiment se retrouver de nouveau seul avec elle. Il y avait toujours un collègue, un légiste, une victime, un témoin… qu’importe la présence, elle permettait d’éviter ce genre de situation merdique qui n’annonçait sans doute rien de bon. Il ne voulait pas l’entendre lui sortir de nouveaux mensonges. Il ne voulait pas qu’elle puisse de nouveau avoir ne serait-ce qu’une infime occasion de foutre à nouveau le bordel dans sa tête et dans son cœur… Alors pourquoi avait-il posé cette question stupide? pourquoi diable fallait-il que les mots aient franchis ses lèvres avant même d’être passé par son cerveau ?… Où était donc passé le filtre ? oui oui vous savez ce truc plutôt pas mal fait qui permet de vous retenir de parler… Trop tard... Déjà ses délicieuses prunelles céruléennes venaient à la rencontre de siennes et les souvenirs affluèrent… avec –malheureusement- les émotions qui vont avec.
Elle n'avait pas l'intention de lui fournir une réponse. Il s'en doutait et c'était aussi pour ça qu'il se maudissait intérieurement de la lui avoir posé. Un soupire s’échappa d’entre ses lèvres. Un soupire et un souhait : celui de la voir partir… Elle n’avait rien à faire ici à part le tourmenter… ce qu’elle avait visiblement bien l’intention de faire. Elle se permit même l’utilisation d’un " chéri " qui n’eut pour effet que de le crisper davantage. Les lèvres s’entrouvrirent mais elle poursuivit sans attendre s’amusant à le pousser encore un peu plus dans ses retranchements. La rancœur explosait à présent mais c’était sans doute ce qu’elle voulait en venant le provoquer comme elle le faisait…
A présent bien trop proches l’un de l’autre, il finit par de nouveau venir à la rencontre de son regard. «Amusé… » qu’il répéta en écho. Amusé…C’était donc ça, c’était ainsi qu’elle voyait toute cette mascarade, tous ses mensonges et tout le bordel qu’elle avait semé. Comme de l’amusement. « Tu t’es bien amusé et ça n’aurait jamais été le cas si j’avais eu connaissance des règles de ton jeu, de votre jeu…» C'était à son tour à présent de ne pas la laisser répondre enchainant aussitôt «ça ne se reproduira jamais alors j’ignore quel plan tordu tu as encore derrière la tête mais juste pour être clair : une des seules choses que tu obtiendras encore de moi c’est ce paquet de bonbons… et encore sans que ça ne soit de ma propre volonté. » Il jeta un bref coup d’œil à la gourmandise en question avant de la regarder à nouveau. « Tu devrais vraiment songer à quitter la ville ... avant que je ne me décide à te tuer…»dit-il tout en s’éloignant d’elle pour partir en direction des vestiaires.
Occupations : lieutenant de police, binôme d'Henry Mitchell Jr (le pauvre!)
Parents : L'effroyable juge des procès de Salem Jonathan Corwin (un incube) & la naïve Abigail Pratt (une sorcière bénéfique)
Nom mystique : prêtresse de Salem
Camp : mal
Espèce : hybride Succube & Sorcière
Pouvoirs raciaux : Sorcière ● création de potions, médiumnité (voir les esprits et communiquer avec), la localisation (à l'aide d'un pendule et d'une carte) & Succube ● projection de phéromones, absorption d'énergie, immortalité.
Pouvoirs personnels : Voyance (Niv2) ● prémonitions (par le toucher) & prescience (elle peut sentir un danger imminent quelques secondes avant qu'il se produise) Empathie (Niv1) ● cadeau empoisonné de sa chère maman, un pouvoir purement bénéfique qui lui permet de ressentir les émotions d'autrui. Elle ne le contrôle absolument pas. Contrôle moléculaire (Niv1) ● Ralentissement moléculaire (d'un geste du poignet, Aly est capable de figer une personne/objet/attaque pendant un laps de temps assez court)
A venir:
● Accélération moléculaire (d’un geste du poignet, Aly peut accélérer le mouvement des molécules des objets où êtres visés afin de les enflammer, s'ils peuvent brûler, ou provoquer leur fonte s'ils ne peuvent s'enflammer)
● Combustion moléculaire (Aly peut faire exploser à la fois les êtres vivants, les êtres artificiels, les objets ainsi que des attaques ennemies)
● inhibition moléculaire (Aly peut cristalliser un objet ou un être, en les enfermant dans un bloc de glace. Ce pouvoir arrête le mouvement des molécules avec de la glace)
Sujet: Re: Tu boudes encore ? ✧ Henry Sam 14 Sep 2024 - 19:45
Henry n’était pas ravi de me voir. Ça c’était pas nouveau. Il m’évitait comme la peste depuis qu’il avait été libéré de la bague d’inspiration … par ma faute ! Mais ça, évidemment, personne ne le savait sinon je serais déjà morte j’imagine. Je m’approche un peu plus de lui et sens mon cœur battre plus vite dans ma poitrine, reflet de ce que ressent Henry dès que je m’approche un peu trop prés de lui. Je le rends nerveux, il est à cran, prêt à exploser et moi, je suis beaucoup trop joueuse – c’est dans ma nature – pour ne pas me laisser happer par ce jeu. Parce que s’il me répond, c’est qu’il cherche des réponses n’est-ce pas ? Et plutôt mourir que d’avouer que ça me plait tout ça. Ça me plait de le séduire à lui. Particulièrement lui «Amusé… » Un très léger sourire séducteur se dessina sur mes lèvres tandis que je plantais mon regard dans le sien, « Oui t’as besoin que je te rafraichisse la mémoire ? » Je lui murmure d’une voix doucereuse, « Dans les douches du vestiaire ou encore ici sur les tapis ? » Je l’interroge, sachant très bien qu’il se souvient autant que moi de ces moments.
Mais la rancœur envers moi semble la plus forte. Il n’est pas aussi réceptif que je ne le croyais. « Tu t’es bien amusé et ça n’aurait jamais été le cas si j’avais eu connaissance des règles de ton jeu, de votre jeu…» Je lève un sourcil tout en ayant un léger mouvement de recul. Il ne me laisse même pas le temps de lui répondre. «ça ne se reproduira jamais alors j’ignore quel plan tordu tu as encore derrière la tête mais juste pour être clair : une des seules choses que tu obtiendras encore de moi c’est ce paquet de bonbons… et encore sans que ça ne soit de ma propre volonté. » Son regard foncé passa du paquet de bonbons à moi d’un air dur et inflexible. « Tu devrais vraiment songer à quitter la ville ... avant que je ne me décide à te tuer…» Et sur ces mots, il s’éloigne de quelques pas pour rejoindre le vestiaire. Là où il pense que je vais le laisser tranquille évidemment.
Sauf que c’est mal me connaître et que je me décide à le suivre d’un pas précipité tout en roulant des yeux. « Oh pauvre petit chaton : je t’ai forcé la main peut-être ? » Je demande d’une voix ironique tout en refermant la porte derrière moi. « Je t’ai pas torturé, on s’est envoyé en l’air Henry ! » Histoire de remettre l’église au milieu du village, hein ! Évidemment que je minimisais mon implication et que je l’avais manipulé. Si je me montrais honnête envers moi-même, je me demanderais aussi ce que je fais encore là parce que cette couverture humaine n’avait plus lieu d’être. J’aurais pu choisir de disparaître de sa vie sauf que je n’en avais pas envie. « Tu veux vraiment me tuer ? » Je répète, mains sur les hanches … Je prenais le risque de dire ça parce que je ressentais de la rancœur, de la colère, je le sentais prés à exploser mais je ne ressentais pas de haine … Il ne me haïssait pas, n’est-ce pas ?
Le seul moyen de se délivrer d'une tentation, c'est d'y céder. Résistez et votre âme se rend malade à force de languir ce qu'elle s'interdit. Oscar Wilde ( ☽☽ )
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Sujet: Re: Tu boudes encore ? ✧ Henry
Tu boudes encore ? ✧ Henry
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